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Notre mémoire est une faculté : plus on l’utilise, plus elle reste en forme. Et un des meilleurs moyens de l’exercer, c’est la socialisation. Quand on discute, on se souvient, on raconte, on répond à des questions. On active des zones précises de notre cerveau. Aujourd’hui, je vous propose de découvrir l’impact de la socialisation sur vos capacités cognitives…

Il y a deux grandes catégories de trous de mémoire. L'oubli par défaut d'encodage correspond à ce type de moment où, par exemple, on vous donne un prénom et vous avez du mal à vous en rappeler. C'est plutôt lié à un problème d'encodage : vous étiez distrait, peu concentré ou pas motivé. Et puis, il y a une autre forme de trou de mémoire, plus mystérieuse : celle où vous avez bel et bien appris l’information. Vous la connaissez. Vous l’avez utilisée, répétée, intégrée. Et pourtant, au moment de la rappeler… c’est le vide. Le blanc. L’impression très étrange de savoir… sans parvenir à retrouver ce que vous savez. Ce type de trou de mémoire est appelé oubli par défaut de récupération. Ce mécanisme pourrait être influencé par un élément souvent négligé : votre horloge interne.

La musique semble influencer nos capacités à mémoriser, récupérer l’information, voire même apprendre plus efficacement. Que dit vraiment la science à ce sujet ? Comment fonctionne ce lien entre musique et mémoire ? Et surtout : comment utiliser la musique pour booster notre cerveau et notre mémoire au quotidien ?

Que ce soit en famille, au travail ou dans la société, la mémoire collective joue un rôle crucial pour apprendre, transmettre, se souvenir, mais aussi pour évoluer ensemble. 

Chez les enfants, on remarque depuis plusieurs années une baisse préoccupante de la compréhension en lecture. En France, une étude de 2023 menée par le Conseil national d’évaluation du système scolaire indique que près d’un élève sur deux en fin de primaire ne parvient pas à restituer le sens global d’un texte simple. Ils peuvent lire les mots, mais peinent à saisir les concepts, à faire des liens, à reformuler.
Chez les adultes, ce n’est pas tellement mieux. Dans le monde professionnel, de nombreuses enquêtes internes révèlent des lacunes dans la compréhension des consignes, des procédures, ou des documents techniques. Selon une étude de l’INSEE (2022), près de 40 % des actifs français éprouvent des difficultés à traiter une information écrite complexe. Ce qui pose un réel problème d'efficacité… et de sécurité. Et ce décalage entre "lire" ou "écouter" et vraiment "comprendre" est au cœur de la crise actuelle de l'apprentissage.  

Les mathématiques ne sont pas qu’un simple outil scolaire. Elles sont la langue de la science, de la technologie, de l’économie, et même de l’écologie. Comprendre les proportions, interpréter un graphique, estimer un risque, raisonner avec rigueur : voilà des compétences majeures dans notre monde numérique et interconnecté. Or, une mauvaise expérience en mathématiques peut générer un rejet durable, voire une angoisse face à tout ce qui touche aux chiffres. Bonne nouvelle : il existe des alternatives pédagogiques, déjà éprouvées ailleurs, qui donnent des résultats spectaculaires. Et parmi elles, vous en avez sûrement entendu parler, une méthode venue d’Asie fait de plus en plus parler d’elle : la méthode Singapour.

On croit souvent que notre mémoire ou notre concentration se dégradent juste à cause du stress, du manque de sommeil, de l’alcool ou d’une mauvaise alimentation. Et c’est vrai : ce sont des facteurs bien connus. Mais aujourd’hui, on va parler d’autre chose. D’habitudes beaucoup plus subtiles, presque invisibles, et pourtant… redoutables. Des comportements du quotidien, installés sans qu’on s’en rende compte, qui grignotent nos capacités mentales, notre mémoire, notre attention, petit à petit. Ce sont des saboteurs discrets. Et ce sont eux qu’on va démasquer ensemble.

Dans l’histoire de la recherche sur l’intelligence, c’est sans doute la théorie des intelligences multiples de Howard Gardner qui a suscité le plus d’enthousiasme… et de débats. En revanche, il existe une approche validée par des décennies de recherche : l’intelligence fluide et l’intelligence cristallisée, décrites dès les années 60 par le psychologue Raymond Cattell.